LBSKC-CRIAEAU R3 : Le Criaeau analyse le rapport  » commission Rwanda  » a un autre degré que Survie

27 Mars 2021

LBSKC-CRIAEAU E3R3 : Comprenons-nous : le Criaeau est entièrement d’accord et soutient Survie, et encore plus fort quand Survie écrit ceci : @Survie·11h

Nous avons lu le rapport de la commission Duclert sur le #Rwanda : la déception est à la hauteur de l’instrumentalisation politique à laquelle se livre son président. Lacunes énormes, biais, occultation… et définition erronée de la complicité pour dédouaner l’État français.

Survie@Survie·11h

Même des acteurs essentiels comme Paul Barril et Bob Denard, au rôle trouble mais déjà en partie documenté sur le #Rwanda, sont escamotés. Trop complexe pour la mission Duclert ?

Commission Duclert sur le rôle de la France au Rwanda : l’Elysée privilégie « l’aveuglement » pour masquer la complicité française

La  » commission Duclert  » vient de remettre à Emmanuel Macron le fruit de 2 ans de travail sur le rôle de la France au Rwanda, avant et pendant le génocide des Tutsis : un rapport de 1200 pages …

https://survie.org/themes/genocide-des-tutsis-au-rwanda/la-france-et-le-genocide-des-tutsis/article/commission-duclert-sur-le-role-de-la-france-au-rwanda-l-elysee-privilegie-l

Ainsi de ce billet Seyam qui s’attache d’abord et avant tout à démontrer que dans le contexte de remise de ce rapport

1 / La Justice internationale, la Justice française sont en cours : sur le dossier  » Barril  » encore cette semaine avec demande de réquisitoire pour  » Association de malfaiteurs en vue de commettre un génocide  » :

2 / de la table des matières à la remarque de survie.org donc, ne pas citer le dossier Barril fait de ce rapport un FAUX qui nie tant la Justice française actuelle d’aujourd’hui, que les faits premiers et indéniables de 27 années de recherches internationales.

ET c’est pourquoi le Criaeau, tout en rappellant le projet interdisciplinaire de recherche, insiste sur cette CONTEXTUALISATION pour bien donner à entendre quel est le degré de CULPABILITE , y compris des rapporteurs, puisque ces Faits sont connus, publiquement et que , de toutes les manières, il s’agit de surcroit de la LOI en la Justice française : aussi, soient-ils inconscients et ou entièrement lucides en une volonté de nuire par négation, les auteurs de ce rapports sont coupables de révisionnisme.

Tel que dans les 5 billets précédents, nous exhortons à lire les vrais auteurs, survivants et chercheurs, ce billet Seyam aussi donne à entendre ( non normativement tel la présentation d’un genocide studies actualisé mais …) ce que du Réel de la Recherche à ces productions de FAUX, il est nécessaire de désirer produire d’un Centre de Recherches, tant de nombreuses questions, que les rapports interdisciplinaires, forment heureusement , tout un autre pan de notre histoire de la Connaissance Humaine.

Nos analyses et synthèses Criaeau se désirent  » d’un autre degré  » pusique, de la compétence réelle de Survie, à l’identique si on veut de la CNLG au Rwanda, nous avons une entière confiance en les lectures critiques, corrections, démonstrations de « Faux, manquements, erreurs grossières, tentatives de manipulations et dédouannements  » que ne manqueront pas de produire Survie et la CNLG dans des écrits prochains comme déjà aujourd’hui.

Et c’est encore sans  » complexe de supériorité  » que le Criaeau par contre désire continuer à approfondir une réflexion – qu’il désire normativement collégiale, collective – en interdisciplinarité.

Puisque, de la Philosophie aux Sciences des langages, des Archives au Théâtre, des Performers à la Psychanalyse, nous sommes encore d’accord sur les analyses de Julien Allaire quand il s’agit , bien sûr, d’arrêter ventes d’armes et françafric, pour une démocratie qui en soi ( et tel que le prouve ausi le turning point de 1993 en frévrier – voir billet Seyam ) connait les outils et responsabilités, hommes et femmes encore, pour ne pas produire de génocide, pratiques génocidaires, colonisation et autre écocide.

Mais, car il y a un mais , le génocide des Tutsi a été perpétré et n’aurait pas pu être perpétré sans l’action de la France dès 1990 : sans l’action de la France, le génocide n’aurait pas eu lieu : la consubstantialité de la France avec les génocidaires, la consubstantialité de l’implication française avec l’histoire du génocide des Tutsi au Rwanda, nous engage en Sciences , a devoir donc : 

1 : Réparer en Justice Education Arts

2 : Comprendre pourquoi et comment cela a été possible

3 : réparer et transformer la structure française ( et internationale ) pour que ceci ne se reproduise plus.

Or si, des ventes d’armes au capitalisme colonialisme génocidaire et écocidaire, nous connaissons déjà aussi les réponses correctives, de l’ONU au socialisme, de l’écologie aux respect des Droits Humains et lois internationales, le constat donc de menteurs et malhonnêtes, criminels et hors la loi que sont les politiques et militaires, gouvernements et complices, ne suffit pas non plus : l’Education, aux mécanismes destructeurs comme aux mécaniques de Réparations, passe par un degré de réflexions, savoirs et intelligence qui engage, de la prévention au réel de la Réparation entière, de nouveaux processus.

Pour le dire autrement, quelque soit votre croyance au Progrès Humain, ces 20 dernières années ont produit des recherches, thèses de doctorat, qui en soi, partiellement et ou de manière synthésique, sont des Progrès en notre Connaissance Universelle : ainsi contre l’heideggerisation, les travaux de l’équipe de Faye, ainsi en Archives Art, les rapports et réparations de KMC à l’Ucla, ainsi en Théâtre -Performance, du Groupov aux Performers 21, de l’usage éthique des témoignages dans les questions de Représentations de l’Histoire, ainsi de la Psychnalayse, en les dégordianisations Lacaniennes et santé mentale de prise en compte des traumatismes comme du déni politique ( Delgado ) , ainsi encore des Lumières du Rwanda, en un ensemble interdisciplinaire qui de la réparation du génocide jusque l’écosocialisme en Rwanda Vert, est pionnier exemplaire pour tous les pays de la Terre.

Or donc, le projet Criaeau stratifie, institutionnellement, ces Progrès réels et concrets, ces nouveaux savoirs, en les Champs de Reconstructions des savoirs, quand la pandémie écocide nous oblige de toutes les manières, à reconsidérer du capitalisme en complexe thermo-industriel, de nouveaux modes de Vie et donc, un nouveau Rapport à nos Savoirs , Connaissances Humaines, Droits et Lois internationales comprises.

Qu’ainsi donc, de Survie à la CNLG, l’analyse entière du faux rapport  » duclert rwanda  » dusse donné lieu à des correctives et amendements, démonstration du FAUX et production du Vrai, est un fait, que nous partageons et auquel nous participons aussi.

Mais, ces 27 années de négations ont aussi abaissé les niveaux de recherches et d’exploration, obligeant nombre de chercheurs à contrer les négationnistes sans alors prendre le temps , par exemple, de synthétiser à l’interdisciplinaire.

Pour le dire très simplement, on ne sait pas si Faye connait bien Carbone, si Carbone connait bien Lacoste et Lacan, si les Pyschanalystes connaissent bien le Rwanda et la CNLG, et si les Performers connaissent Faye.

Or c’est bien de ce degré collégial dont nous traitons, tel que la Matrice de Khun décrit l’évolution des Sciences et Epistémologies. Pour faire court, nous sommes par contre pratiquement sûrs…. que personne ne connait Josette Hector et sa recherche sur Bachelard Lacan en coupure et obstacle, quand, vis à vis de JP Karegaye en  » le génocide des Tutsi et les Champs de Reconstructions des savoirs  » , l’Ethique du Champ de reconstruction des savoirs, est produit contre l’obstacle par la Coupure épistémologique produite en le Concept d’Ethique appliquée , produit comme pour Leroux le socialisme, sur la reprise d’une éthique appliquée ( Marzano ) définie en soi comme fausse et complice du CETA et libéralisme heideggeriste : aussi , que depuis 2012, notre Concept d’Ethique appliquée ait pu être vérifié, théoriquement practologiquement, et jusque en praxis de Performer et Philo-Performer, et nous en sommes aussi fiers qu’heureux pour toutes et tous car il produit une correction, fut-elle celle d’abord d’abbattre les criminogénies, quand le réel de son action est REPARATRICE , refondatrice et reconstructive: cette nouvelle Renaissance connait le limites d’une croyance en l’homme nouveau que les facistes nazis idolatrèrent jusque leurs morts factuelles, quand le Champ de Reconstructions des Savoirs depuis la Conférence de 2008 s’actualise donc des 7 coupures épistémologiques produites en notre Matrice de Réparations.

Aussi, si Survie comme la CNLG vont critiquer et corriger, faire voir le Faux du rapport duclert-Rwanda, et produire le Vrai, faits et témpoignages, analyses et reconstitutions, synthèses et accusations, mises en instructions et procès, jugements et condamnations de la France pour  » association de malfaiteurs en vue de commettre un génocide  » ( Justice française de cette semaine sur le dossier  » barril » ) , le Criaeau tout en soutenant et participant à ce degré, désire aussi inviter à un autre degré : c’est pourquoi nous écrivons  » simulatoire active d’un anti-génocide arts center  » où, de l’interdisciplinarité aux réels des recherches, écrits et explorations, nous interpellons collègues et survivants pour s’essayer à cette démarche tout à fait normative, connue, mais qui fut entravée par 27 années de négationnismes : encore, si cette pratique est connue, nous désirons l’actualiser aussi de Savoirs doctoraux en Arts qui, de l’Ethique du Théâtre aux Trainings de Performers, ouvrent des dimensions que la régression d’une part des universitaires à s’acoquiner avec les TV révisionnistes ne connait pas : et qui pourtant existe donc, telle ausi une nouveauté puisque si en soi, connue en Recherche Théâtrale, c’est bien en interdisciplinarité avec les autres disciplines susnommées que ces Praxis se désirent partagées, rencontrées, pour explorer et savoir ce qu’elles apportent aux autres disciplines, d’outils et de savoirs, de transformations voire même de correctives doctorales, réciproques encore.

On peut être docteur en Philosophie et participer à un génocide ou être soumis à 27 ans de révisionnisme : cette dimension donc, doit être corrigée.

On parle du Corps en Sciences des Langages et ou en Psychanalyse, sans connaitre PHYSIQUEMENT les trainings de Performers : cela doit être corrigé.

On évoque et invoque la démocratie dans un pays révisionniste de génocide : cela doit être corrigé.

Le Criaeau, sans prétendre à rien d’autre qu’explorer et chercher les bonnes questions réparatrices et refondatrices, refuse l’habitus TV que toutes les dictatures ont toujours adoré comme médias continuant la messe inquisitrice d’humains endoctrinés et soumis, tant à la pulsion de mort qu’aux dérives d’états et de religions criminelles.

L’émancipation du Sujet, depuis Leroux et par Freud-Lacan, contre l’ignorance et l’esclavage qu’est l’ignorance, s’est développé de la Psychanalyse aux Droits Humains, dans les UNiversités et Recherches : qu’aujourd’hui, en la caricature d’états négationnistes, les Universités et Théâtres et Ecoles soient fermés, pour sous vivre dans des régimes autoritaires où ne règneraient que TV messes et très mauvais divertissements pour abrutis TV, est un FAIT : tel même la punition d’état et d’humains ayant nié un génocide et l’écocide, depuis 27 ans, et réduits esclaves à mourir de leurs pollution et négation des Savoirs, Droits Humains et Lois internationales.

Que , par contre des survivants rwandais aux chercheurs, des étudiants aux artistes, même réduits au banissements et censurés, ceux -ci et celles -ci sont victorieux aujourd’hui contre 27 ans de négations d’état TV, est un FAIT aussi.

Qu’alors donc, l’actualisation des Savoirs et analyses dépassent en soi, la corrective d’un rapport négationniste en plus, est aussi un Fait.

C’est pourquoi, en un petit exemple, ce billet Seyam se propose d’amender déjà la table des matières du dit rapport duclert , pour MONTRER en soi, des sciences des langages aux langues révisionnistes , ce que déjà en la table des matières on peut et on doit lire de cette criminogénie : car un rapport qui nie le factuel du Dossier Barril, qui est l’actuel de la Justice française n’est qu’un rapport négationniste, des faits et de la Justice française donc.

Si le Criaeau met zéro à ce rapport, c’est en cette analyse contextuelle, et pour ne pas discuter avec des négationnistes : leur degré de pathologie et perversité, mensonges et déouannements est aussi abject qu’in fine, mortel pour eux.

La CNLG et Survie le feront pour définitivement ridiculiser et faire enfermer ces révisionnistes : le Criaeau y  participe depuis longtemps, continue, s’ y adjont encore, mais aussi en désirant faire entendre l’autre niveau des vrais recherches, indispensables à tous : et bien sûr, sans avoir la prétention d’en tenir la vérité absolue, et bien pour en discuter collégialement : voire  » Groupe Esther 21 : les Lumières du Rwanda – Criaeau.org  » et  » Vers une Ethique appliquée  » entre autres.

Mais  c’est dans la langue qu’a débuté la Shoah et c’est dans la langue que croient continuer les révisionnistes : là, de l’inconscient structuré comme un Langage à depuis Klemperer, nous en savons long et jusque encore en Théâtre pour aussi défaire les langues criminelles, reconstruire et réparer, et redonner en nos Langues, épanouissements et plaisirs, DROITS , analyses et synthèses.

Très bonnes études au Criaeau.

Laurent Beaufils-Seyam écrit à Boussac le 27 mars 2021 à 20 h.

Première partie : S’engager au Rwanda : de quel  » engagement s’agirait-il quand c’est une guerre secrète initiée par le clan mitterand corrompu déjà avec l’akazu ? Le rapport duclert tente l’intimidation à l’armée, et veut faire croire à des opérations licites, que la population auraient du accepter : c’est FAUX.

Chapitre 1. Intervenir au Rwanda (1990) ………………………………. 36 : IL n’y a donc pas une intervention au Rwanda, mais une guerre secrètre, illégale vis à vis de la Consitution française comme vis à vis de l’ONU, en pleine conscience encore de soutenir des racistes exterminateurs : le rapport duclert ment.

Chapitre 2. La France face à la succession des crises rwandaises (1991-1992) ………………………………………….127 dans la langue , on veut parler de  » crises rwandaises  » pour nier génocide et pogroms qui depuis 1959 ont été dénoncé très tôt par Bertrand Russel : cette euphémisation est une tentative récurrente des criminels pour ne pas respecter le Droit International, perpétrér des crimes et croire demeurés impunis : encore la langue parle de  » La France  » quand il s’agit du lobby militaire et religieux et veut insidieusement reporter sur la colonisation belge , la cause du génocide quand cette même France depuis 1975 continuait cette lutte contre la Belgique et pour envahir le Rwanda .

 Chapitre 3. Vers le désengagement (janvier-décembre 1993)…………..214 : encore Faux : l’échec de la France aux accords d’Arusha qui ne voulait pas des accords ONU est une défaite cuisante et l’obligation de la France de se retirer du Rwanda : quant encore dès janvier 1993, en niant le rapport Carbonare, la France en lieu et pace du désengagement accepté par la DGSE, Varret chef des armées au Rwanda, Joxe ministre de la Défense, et donc Carbonare Survie FIDH, cette france de la cohabitation, les coupables donc  » mitterand et droite française plus quesnot  » ont doublé les forces fr, armé et formé les tueurs et s’étaient donc engagé dès mars 1993 en une  » associations de malfaiteurs en vue de commettre un génocide  » .

Deuxième partie – La France face au génocide : Faux ; la  » france n’a jamais été face au génocide » : la France a permis le génocide , aidé au génocide, participé à la planification et perpétration du génocide, formé et armé les tueurs géncidaires, les encadrer  jusque créer le gouvernement génocidaire à l’ambassade de France, participer au génocide à Bisesero, Murambi et autres lieux, jusque aider à la fuite et au réarmement des génocidaires au Zaïre jusque en 1998 pour croire continuer le génocide des Tutsi.

Chapitre 4. La France, la guerre et le génocide (avril-juin 1994) …..310 : Faux : énième tentative de faire croire que la France, la guerre et le génocide ont été trois choses différentes : sans la France , la guerre n’aura pas eu lieu, sans la France le génocide n’aurait pas eu lieu.

Chapitre 5. L’opération Turquoise (22 juin -21 août 1994) …………447 : croire séparer l’opération turquoise sans nommer les opérations précédentres, Noroit, Panda, Amarillys, c’est vouloir faire croire à une opération humanitaire alors qu’il s’est agi d’une opération finale sur 4 années de planification et préparation du génocide avec les tueurs, pour exfiltrer les français illégaux restés durant le génocide au Rwanda pour continuer les massacres tel le criminel dénommé barril.  

Chapitre 6. L’après Turquoise ………………………………………………..613 : faire vouloir croire à ‘ l »après turquoise » , c’est vouloir dissimuler que l’IDEOLOGIE militaire, les techniques de guerre et noms de codes, seraient terminés quand, à l’évidence et démontré par G Périès, la technique de guerre révolutionnaire est employée actuellement contre la population française en 2021, et qu’encore dans l’ensemble symbolique criminogène des criminels, des couleurs aux pédophilies relgieuses, c’est la même idéologie du sabre et du goupillon, du sabre et de la machette religieuse, qui perdure dans les têtes des psychopathes, aussi entièrement malades que toujours soumis esclaves à l’idéologie négationniste.

Troisième partie : Gouverner l’État dans la crise rwandaise : un titre qui tente deux choses : séparer Etat et crise rwandaise alors que l’état criminel fr et rwandais ont été une seule et même chose : dire crise rwandaise, c’est déjà aussi vouloir ne pas écrire GENOCIDE et tenter d’euphémiser et remplacer le Droit, la LOI, le Fait, le Témoignage par un sous vocable valise de la langue négationniste : crise.

Chapitre 7. Dérives des institutions, impensé du génocide et liberté républicaine : exemple entier de langue négationniste : dérive en lieu et place de complicité de génocide : impensé quant c’est en conscience du rapport Carbonare que ceci a été planifié et perpétré : puis liberté républicaine quand la république fr est Responsable d’appliquer l’ONU la Convention pour la répression et prévention des crimes contre l’humanité et génocide, qui fut actualisé en mars 1994 par l’ONU et alors signée par la France et le Rwanda !  : cette énième tentative de déni démontre le factuel d’un état criminel, génocidaire et révisionniste dont les fonctionnaires ayant perpétré ce rapport sont tant les complices que les sbires en catégories 3 de criminels, selon la CPI Cour Pénale INternationale. ...Le FPR a lui énoncé la LOI du 9 décembre 1948 de l’ONU pour justifier son action militaire et arrêter le génocide et arrêter les génocidaires……………………………………………………….. 662

Consultez Criaeau.org : http://criaeau.org/thematiques-de-recherches-avancees-au-criaeau-org/

Publié par BEAUFILS Laurent

Consultez le site Criaeau.org : https://criaeau.org/abukakivi-boussac-echange-epistolaire-france-rwanda-2008/

2 commentaires sur « LBSKC-CRIAEAU R3 : Le Criaeau analyse le rapport  » commission Rwanda  » a un autre degré que Survie »

Laisser un commentaire

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer